Comment commencer une activité de traducteur freelance ?

Afin de conquérir de nouveaux pays et de nouveaux marchés, les entreprises font souvent appel à des agences de traduction ou des traducteurs freelance pour traduire leurs documents et faire en sorte de réduire les barrières linguistiques qui peuvent exister. Mais alors, comment commencer une activité de traducteur freelance ?

Quelles formations suivre pour devenir traducteur freelance ?

Pour faire le métier de traducteur freelance, il est utile de suivre au minimum des études et d’avoir un bacc +2. Mais il est possible de continuer et de choisir des filières spécialisées dans des langues étrangères ou des traductions comme LEA ou LLCE. En continuant vers le Master 2, la personne qui veut devenir traducteur freelance aura encore plus de qualification. En France, des institutions comme ESIT, ISIT, ITIRI et INALCO sont des références en matière de formation au métier de traducteur freelance. Un séjour en longue durée à l’étranger est également utile pour s’imprégner des langues utilisées ailleurs. Une bonne capacité rédactionnelle en français est également utile dans ce métier.

Quelles sont les missions d’un traducteur freelance ?

Un traducteur freelance, dans son métier, doit faire en sorte de transporter le document du client d’une langue vers une autre langue cible. De plus, il doit veiller au respect de la forme du texte source pour offrir une traduction fidèle au texte source. Pour cela, il utilise un style rédactionnel captivant. En outre, le traducteur freelance se doit de fournir une traduction à l’image de l’entreprise à forte valeur ajoutée en vue de booster le content marketing de celle-ci. Ce content marketing peut également englober le web. Dans ce sens, le traducteur freelance, quelque fois, doit également faire la mise en ligne du texte traduit.

Les qualités requises pour devenir traducteur freelance

Comme dans tout autre métier, celui de traducteur freelance à ses propres qualités requises. En plus d’une curiosité développée dans le domaine de la rédaction, ses nouveautés et les éventuelles innovations dans ce métier, le traducteur freelance doit également avoir une bonne connaissance générale. De plus, il doit être passionné par son métier. Entant que rédacteur, il doit être irréprochable en matière de langue, d’orthographe, de grammaire et de syntaxe. Plus reconnue pour être un atout et non une qualité indispensable, le traducteur freelance doit développer des connaissances dans certains domaines de l’informatique et des nouvelles technologies comme la maîtrise du langage HTML et l’utilisation d’un CMS comme WordPress.

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